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20 juillet 2010 2 20 /07 /juillet /2010 16:45

                   C'est avec une grande peine que je viens d'apprendre les affrontements entre pompiers et policiers dans cette belle ville de Nice, et cela m'est d'autant plus pénible qu'il s'agit de deux professions que je voue en admiration pour les avoir vues à l'oeuvre.

 

J'aii la faiblesse d'espérer qu'il s'agit d'agitateurs syndicaux professionnels et il est vrai que je suis favorable à la réforme des retraites, à son volet sur le report de l'âge légal à la retraite au nom aussi bien de la progressivité dans la réforme de l'Etat que de la préservation du bénéfice des artisans et petits commerçants.

 

Toutefois, il me semble que les forces de police ont d'autres tâches plus utiles à effectuer, notamment à l'éncontre des "délinquants" et que les procédures classiques telles que la "retenue sur salaire" devraient suffire à punir les pompiers récalcitrants.

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16 juillet 2010 5 16 /07 /juillet /2010 16:22

                   En relevant le prix du terrain de Madame Béranger dont la proximité avec la gare de Saint-Laurent attirait la convoitise des promoteurs, le Tribunal de Grande Instance de Nice vient indiscutablement de dédommager une personne respectable dont la souffrance morale d'être séparée de son bien de famille peut bien se "monétiser" un peu.

 

Bien sûr, je suis parmi les premiers à m'opposer à la spéculation immobilière effreinée que l'on constate sur la Riviera qui, non seulement porte des atteintes insupportables à l'environnement -encore que ce phénomène est moins vrai depuis que, vice-président du conseil général en charge du développement durable, notre excellent député Lionnel Luca intervient dans ce domaine- mais, surtout, contribue à chasser les locaux et les jeunes vers l'arrière-pays alors même qu'ils ne demanderaient souvent qu'à prendre la suite de leurs parents. Car, injustice totale d'ailleurs, les frais de succession sont calculés en fonction de la valeur vénale des terrains c'est-à-dire des prix de l'immobilier qui, dans la région, sont scandaleusement prohibitifs!

 

En l'occurence , il y avait un acte de préemption municipal puisque le but était justement d'y aménager un quartier avec commerces à proximité immédiate de la gare et, il faut le reconnaître, ce n'était pas un mauvais but.

Simplement, la société "Marignan résidence" qui avait obtenu un permis de construire pour un immeuble comprenant 25% de logements sociaux, ne l'entendait pas de cete oreille! Et n'admettait pas la préemption de la mairie qui, au niveau de prix de vente, "lésait "un tout petit peu Madame Béranger.

 

                     Une chose est d'indemniser correctement le propriétaire d'une résidence familiale ayant plus ou moins choisi de s'en séparer, une autre chose est de laisser les promoteurs immobiliers contrarier la politique d'aménagement du territoire de la commune qui comporte une finalité d'intérêt général supérieure à ceux des spéculateurs.

 

Quelle sera la suite des péripéties judiciaires si l'on y inclut le recours au tribunal administratif qui a été déposé par Madame Béranger ? Je l'ignore mais il me semble opportun que la mairie indemnise correctement le propriétaire sans pour autant se priver de sa marge de manoeuvre sachant qu'elle a l'obligation de garantir un cadre de vie correct et, condition trop délaissée dans la région, à un prix abordable qui n'est sûrement pas l'objectif des promoteurs!

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15 juin 2010 2 15 /06 /juin /2010 10:37

             Le maire de Nice et ministre de l'Industrie Christian Estrosi s'est à juste titre félicité que "la France est fière d'abriter dans Nice dans son giron", ajoutant que la ville natale de Garibaldi, cédée en 1860 par Victor-Emmanuel III de Piémont-Sardaigne en remerciement de l'intervention française à Mentana contre les Autrichiens détenteurs d'une partie de la Lombardie à l'époque, comprenait un certain nombre d'atouts.

Il a rappelé notamment que c'était une grande ville de culture, de tourisme et de congrès et ce, à très juste titre.

 

                      En revanche, lorsqu'il a rappelé le potentiel technologique de la région, indéniable avec Sophia-Antipolis et Cannes-la-Bocca, et notamment lorsqu'il a évoqué le sujet très sensible à mes yeux de l'"éco-vallée" du Var, il a peut-être eu tendance à négliger que la partie Ouest du département dont il est l'ancien président n'est pas concernée par ce 150ème anniversaire puisque relevant de l'ancien comté de Provence, comme l'atteste notamment l'exceptionnel patrimoine de Vence à côté de Cagnes-sur-Mer.

 

Il a néanmoins eu raison d'évoquer ce potentiel exceptionnel en insistant sur la "croissance verte" car, il ne peut l'ignorer en raison de son poste actuel, ce sera l'enjeu majeur de demain!

 

                      Mais je voudrais rappeler à cette occasion l'absence d'opposition voire la nette complémentarité entre l'appartenance à l'ancien comté de Nice et à la nation française puisque, à mon sens, les deux identités ne s'opposent pas mais se complètent, bien au contraire!

 

En ces période où les difficultés économiques risquent de s'aggraver et de commencer à poser des problèmes mettant en jeu la solidarité des personnes et des communautés, il me semble important de rappeler que, comme les Provençaux de l'Ouest du département des Alpes-Maritimes, les Nissards et les Niçois avec tous les habitants de l'ancien comté de Nice doivent revendiquer leur appartenance culturelle tout en revendiquant leur appartenance à la nation française et ce, de manière complémentaire.

 

Qu'il s'agisse des nombreux touristes et retraités qui atterrissent sur la Riviera, des nombreux ressortissants des pays du Tiers-Monde qui s'installent dans de mauvaises conditions alors que leur place reste dans leur pays d'origine, ou des nombreux passagers français et étrangers qui apprécient à juste titre d'y séjourner, ils doivent reconnaître cette spécificité identitaire et préserver avant tout les droits des locaux.

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9 juin 2010 3 09 /06 /juin /2010 11:16

FORUM 21

Venez participer au FORUM 21

Présentation des enjeux de développement durable

à Cagnes-sur-Mer

Définition des thématiques prioritaires

de l’Agenda 21 de la commune

REUNION PUBLIQUE

Lundi 14 juin 2010

à 18 heures

Espace Centre - 5, avenue de Verdun

Ensemble, bousculons nos idées,

construisons l’avenir

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28 mai 2010 5 28 /05 /mai /2010 15:02

Est-ce l'effet d'une nouvelle "lucidité" chez Monsieur Dombreval consécutive à sa démission du "MoDem"?

 

Une rencontre opportune lui ayant permis de constater que ne "subsistaient" plus que trois ou quatres producteurs de roses sur la commune de Vence et la raison que constitue la concurrence "déloyale" consistant dans les productions de pays "à faibles coûts" auprès desquels s'approvisionne désormais le M.I.N. de Nice.

 

Pourtant, l'"allée des fleuristes" reste un endroit prisé des touristes, non loin de Saint-Paul et il est regrettable que nos producteurs locaux n'en profitent pas suffisemment.

 

La réalité est qu'il importe de mettre en place un label "local" et autres mesures visant non pas à subventionner les producteurs mais à les protéger de la "concurrence déloyale en arguant de la moindre qualité sociale et environnementale des produits qu'elle représente.

 

Cela est valable bien sûr pour tous les produits du terroirs que sont les "fruits et légumes" notamment, garants d'une alimentation saine et d'un équilibre environnemental.

 

J'ajoute qu'au moment où la Commission de Bruxelles se refuse à interdire les insecticides destructeurs d'abeilles tels que ceux produits par la très néfaste firme MONSANTO, le conseil général des Alpes-Maritimes a, par l'intermédiaire de Monsieur Luca, décidé de prendre quelques mesures d'urgence d'aide aux apiculteurs afin que ceux-ci ne disparaissent pas dans la commune et ses environs. En effet, pour paraphraser un homme politique célèbre "quand les abeilles viendront à disparaître, les jours de l'Homme seront comptés".

 

Tout cela pour dire que défendre les fruits et légumes locaux, les apiculteurs et les producteurs de roses respectant certains critères correspondant à un label s'inscrit dans une vision saine de l'aménagement du territoire dont nous avons cruellement besoin.

 

La raison d'être de l'activité des abeilles en dépend d'ailleurs directement..

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19 mai 2010 3 19 /05 /mai /2010 14:54

              Devant la spirale incontrôlable qui vient de s'enclencher concernant la perte de confiance des investisseurs dans les dettes publiques des Etats surendettés de la zone euro, la Commission de Bruxelles n'a rien trouvé de mieux à faire...qu'à demander un contrôle "européen" des budgets des Etats membres de l'Union européenne!

 

Or, comme l'indique l'excellent député du pays cagnois "Le projet de budget 2011 prévoit une augmentation des frais administratifs des institutions européennes de 4,5% (dont +2,9% pour la Commission), incluant des créations de postes et des hausses de salaires. Les Gouvernement n'acceptent qu'une hausse (encore excessive) de 1,9% mais la Commission soutient les revendications des fonctionnaires d'une hausse de 3,7%, alors qu'ils sont déjà très privilégiés, et pour cela elle a même attaqué en justice les Etats de l'Union Européenne"

 

Et puis, n'est-ce pas l'Union européenne qui cherche à nous imposer un inutile "plan de sauvetage" de la Grèce qui ne ferait que retarder l'échéance fatale de quelques semaines en aggravant notre dette à nous?

 

La vérité est que l'"euro fort" est pour beaucoup dans nos problèmes de dettes, non seulement parce qu'il pénalise nos exportations mais aussi parce qu'il renchérit le coût de la vie...incitant l'Etat à payer la différence!

 

Et la "concurrence déloyale" d'autres pays de l'UE aussi, notamment concernant les fruits et légumes dans nos régions méditerrannéennes aussi!

Car l'absence totale de frontières pousse à la délocalisation et c'est certainement cela le principal moteur de l'endettement public, à la fois parce qu'il fait disparaître les recettes et parce qu'il pousse à la dépense.

 

Que chacun s'occupe de ses affaires à son niveau, et tout le monde ne s'en portera que mieux!

C'est vrai que l'Etat s'occupe souvent de "ce qui ne le regarde pas" en France" mais cela ne veut pas dire que cela doit revenir à Bruxelles de s'occuper de ce que l'Etat fait mal!

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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 11:44

         Les vagues qui ont déferlé sur la Côte d'Azur peu après avoir ravagé le littoral vendéen avec la tempête "Cynthia" et qui ont provoqué la destruction, ou du moins la faillite de plusieurs restaurants, posent encore une fois la question d'un aménagement du territoire équilibré et respectant les exigences de la Nature.

 

             Comme je le regrette souvent, les Alpes-Maritimes ne sont pas la Vendée en ce sens que, sous la houlette de son président du conseil général, celle-ci a basé son développement sur un maillage du territoire respectant un équilibre dans la répartition du territoire en conservant toute la dimension rurale de la région et de son Bocage.

Peut-être le relief de l'arrière-pays y est aussi beaucoup moins "facile";

 

Pourtant, il y a eu de la spéculation foncière aussi là-bas manifestement et c'est pourquoi il me semble opportun de profiter de cette expérience tragique pour rappeler qu'il n'est pas sain de concentrer toutes les activités et la populations sur le littoral, amenant pollution et insécurité dans certains quartiers comme la tristement célèbre Ariane à Nice. Et lorsqu'il ne s'agit pas de populations déshéritées que nous ne sommes plus capables d'accueillir décemment et qui nous amènent trop de problèmes désormais-à quand une remise en cause de certains revenus d'"assistanat'?-, il s'agit de riches retraités ou de stars du show biz qui, on le voit sur la Croisette actuellement, provoquent une spéculation foncière à telle enseigne que les locaux ne parviennent plus à se loger décemment et à transmettre leur patrimoine!

 

Alors que des vallées entières de l'arrière-pays, en dehors des stations de ski, sont en instance de désertification au point que les "faux écologistes", ceux qui votent pour les Verts et écoutent les donneurs de leçon que constituent les "bo-bo" parisiens, en sont à réclamer la généralisation du loup dans le parc du Mercantour, loup qui s'en prend de facto à nos troupeaux de moutons dont nous avons si cruellement besoin. Si encore le loup contribuait à la limitation des espèces nuisibles comme le chevreuil ou le sanglier qui saccagent nos cultures et que, pour des raisons bureaucratiques absurdes, nos chasseurs ne traquent pas suffisemment!

 

Car c'est l'agriculture dans sa version "bio" qu'il faut privilégier et non les espèces sauvages nuisibles qu'il s'agisse de loups, de chevreuils ou de sangliers, du moins pas tout de suite!

 

C'est pourquoi il faut profiter de la présence des nombreux retraités du littoral azuréen pour développer la polyculture, les A.M.A.P. , les petits restaurants ruraux et les solidarités de proximité dans l'arrière-pays!

 

C'est une bonne chose que Sophia-Antipolis soie un grand centre industriel et tertiaire et qu'Ariane fabrique certains de ses produits sur son site de Cannes La Bocca! Simplement, la solution aux problématiques environnementales passe par un aménagement du territoire équilibré répartissant mieux les activités "à la campagne", comme a tenté de le faire le maire de Conségudes Monsieur Lanteri, et maintenant si possible les petites "exploitations" en vie au besoin par des subventions aux associations et suppressions de charges..c'est préférable aux dépenses d'argent public maintenant certaines populations urbaines dans l'assistanant et servant d'"appel d'air" à d'autres personnes originaires d'outre-Méditerrénée! En clair, il faut favoriser le tissu social en milieu rural et montagnard pour un plus grand respect de l'environnement...

 

C'est parfaitement compatible avec la démarche Haute Qualité Environnementale que vient d'initier le conseil général!

 

 

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6 avril 2010 2 06 /04 /avril /2010 16:21

 

Lionnel LUCA a participé ce mardi à l'Assemblée Nationale au lancement du Comité de soutien des Elus à l'Abeille et aux Apiculteurs dont il est l'un des cosignataires avec des associations telles que la LPO ou l'UNAF (Union Nationale de l'Apiculture Française).

 

En effet les abeilles sont menacées par des pratiques agricoles inadaptées qui utilisent trop de produits toxiques et depuis 1995 30% des colonies d'abeilles disparaissent chaque année, ce qui ne peut avoir que de graves répercussions pour l'homme.

 

C'est pour nous un enjeu majeur en termes agricole et environnemental et c'est pourquoi je milite pour la prise en compte des idées exprimées par le président du conseil général de la Vendée dans "quand les abeilles viendront à disparaître, les jours de l'homme seront comptés" par le conseil général des Alpes-Maritimes dont j'avais souligné une heureuse inititiative locale près de Vence il y a quelques mois.

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 16:08
Dépêches
Le projet des Préalpes d'Azur a 185 amis
Publié le samedi 27 mars 2010 à 01H00
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Le projet des Préalpes d'Azur a 185 amis_1 Le plan des Noves, au col de Vence situé dans le périmètre du futur parc des Préalpes.
                   Selon son président Pierre Fabre, le Parc Naturel Régional des Préalpes d'Azur, a vocation à "être centré sur les habitants et protecteur de la nature sans ignorer la promotion d'un développement économique durable axé sur le tourisme et l'agriculture » et ce, dans une démarche participative entre acteurs et élus de la région, avec le syndicat de préfiguration sur un territoire comprenant une petite cinquantaine de communes de l'arrière-pays niçois dont notre petit village de Conségudes, dirigé par l'excellent maire "chasseur" Claude Lanteri.
L'association des amis du PNR s'est tenue dimanche dernier, tout un symbôle, dans l'ancienne chapelle des Pénitens Blancs, et compte aujourd'hui 185 membres à jours de cotisation.
 
                   Nous sommes en complète adéquation avec la démarche, une logique de réseau associant les acteurs institutionnels et les acteurs privés (notamment associatifs), source de responsabilisation et de souplesse dans la politique menée mais davantage encore dans la finalité, qui consiste à préserver le territoire et ce, en tant que zone rurale traditionnelle et non en tant que zone sanctuarisée. Nous savons que c'est un équilibre difficile à tenir dans notre département des Alpes-Maritimes où la sururbanisation alliant tourisme de masse et afflux de retraités, d'une part, immigration incontrôlée d'autre part, caractéristique de la Riviera, contraste avec des territoires au paysage naturellement magnifique mais que l'on voudrait consacrer aux expérimentations "bo-bo" comme concernant le loup du Mercantour qui, au lieu de s'en prendre aux herbivores sauvages qui saccagent nos jardins, s'en prend aux moutons que les éleveurs ovins ont tant de mal à maintenir. Et qui font un peu l'identité de notre région à la frontière de la Provence et du Piémont français!
 

                      C'est aussi l'opinion du maire de Coursegoules, chef lieu du canton, Alain Arziani, qui a déclaré à cette occasion la phrase de bon sens suivante « par ce projet et par les retombées pour ce territoire qui tient à sa ruralité, le PNR constitue un label de qualité qui permettra de sauvegarder et de maintenir notre patrimoine naturel ».

Une fois n'est pas coûtume, bravo et merci, monsieur Arziani!

 

 

 

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26 mars 2010 5 26 /03 /mars /2010 15:30

            Il y a quelques temps, j'avais soutenu un projet de jardins bio favorisé par la municipalité de Cagnes sur mer, il n'aurait pas été juste que je ne soutienne pas le projet municipal de jardins potagers dans la commune voisine de Vence, lequel pourant comporte une opposition de la part d'une association de riverains dirigée par Robert Vergano.

             Selon Monsieur  Vergano, président de l'Association de défense des propriétaires de la Basse Sine, le projet du chemin des Noisetiers ne respecterait pas les réglementations du Plan d'occupation des sols (POS) en vigueur, ni celle du Plan de prévention des risques incendie et feu de forêt (PPRIF). « Une autorisation de défrichement ne semble pas avoir été délivrée pour la parcelle retenue, située au POS en zone ND TC .  La réalisation d'un tel projet « ne ferait qu'aggraver les risques d'incendie en raison du nombre de personnes exposées, notamment en période estivale lors de l'occupation des jardins.

               Or, si l'augmentation du risque n'est pas absurde a priori, il n'en demeure pas moins que les jardins constituent en excellent coupe-feu dès lors que, en période estivale, il ne s'agit pas de broussaille comme souvent hélas dans les massifs forestiers mais de plantations de maraîchers.
Et quant au choix d'implantation, je salue le propos censé de Madame  Thiébaut, adjointe à l'environnement, « Il s'agit d'un terrain communal facilement accessible bien qu'éloigné du centre de la commune. Il est par ailleurs pratiquement immédiatement utilisable. Nous nous ne disposons pas de terrain similaire ailleurs ».

              Surtout, ce projet s'adresse aux Vençois qui, menacés par la spéculation immobilière et le tourisme de masse, pourront ainsi préserver une partie de leur espace en s'alimentant de la façon la plus saine qui soit. Nul doute qu'ils s'en sentiront plus responsable que des touristes en pique-nique dans un bois en friche ou, pire, des complices de promotteurs peu scrupuleux cherchant à acquérir des terrains.

                    Il en va d'un aménagement équilibré du territoire et d'un meilleur contrôle par les populations locales d'une partie de leur territoire, tandis que les zones commerciales à forte fréquentation ponctuelle apparaissent sujettes à une insécurité sauvage en raison de la circulation de bandes "nomades" comme le tragique et récent incident de la gare de Cros l'a montré.

 

Jardins contestés_MD
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  • : Le blog de JEAN DU TERROIR
  • : Dans un contexte où il va falloir cesser bientôt de "vivre au-dessus de ses moyens", nos contitoyens devront choisir entre travailler dans des secteurs productifs pour financer leur Etat-Providence ou renoncer à financer leur Etat-Providence et se remettre au goût du jour certaines habitudes traditionnelles comme le jardinage ou les solidarités de voisinage.
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